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Je bosse actuellement en radio conventionelle
en plaque ERLM
et, avec un de mes moniteurs, on en arrive à d' "étonnantes" conclusions...

La "réponse" d'un système numérique du point de vue sensitométrique est linéaire, contrairement à la réponse d'un film qui est une courbe avec voile de base, seuil ,...(enfin tout ce qu'on a appris en cours...)

Enfin j'arrive pas bien à expliquer tout mais bon:
en pratique, je fais des extrêmités à 60-70 KV avec très peu de mAs (1 à 3) et j'obtiens de très bons clichés (quand je dis bons, ce n'est pas seulement qu'ils soient bien contrastés et avec une bonne luminosité car ça avec une num c'est facile de corriger... Non, ils sont bons aussi en résolution spatiale)

Bref, j'essaye de réfléchir à tout ça et je vous tiens au courant

Ah, j'ai oublié de te répondre avant de partir en vacances...

Sur quels critères te bases-tu pour affirmer que la résolution spatiale est aussi bonne que la radio argentique? Uniquement sur ta courbe ou en pratique également?

Moi, étant une fervente de la radio argentique car on obtient de très belles images, j'attends d'être convertie au numérique! (Ceci est dû à mon service où l'on doit fournir des radios irréprochables...)

Tu repasses pour nous dire quoi? Thanx!

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Notre interprétation de ce que l'on voit dépend beaucoup de ce que l'on s'attend à trouver

Ben en fait j'essaye de comprendre un peu pourquoi j'ai ce type de résultats

Pour la réso spatiale, c'est "visuel"

on a fait des tests avec un des moniteurs de l'ifmem



ps: moi aussi je suis un grand Fan de l'argentique, je trouve ça beaucoup plus "authentique" et
même j'aime bien bosser en manuel...alors tu vois...

bref quand je dis je reviens c'est pour dire que je reviendrai quand j'aurai d'autres élèments de réflexion

pour ma part, je bosse aussi bien sur de l'argentique que sur du numérique, et je dois avouer que d'un point de vue authenticité je ne note pas trop de différence, le seul point est que l'argentique nous oblige à être optimal dans le choix des constantes, et des techniques de travail ce que le num ne rend pas forcément obligatoire.
Bref il permet à un esprit un peu plus laxiste d'être moins regardant à la qualité de travail, mais ceci souvent aux dépens du patient d'un point de vue radioprotection.
Mais il serait intérressant de connaitre les limites d'expositions en numérique qui permettraient d'avoir pour moins de dose une aussi bonne qualité.

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ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.